Certains bipolaires, ou schizophrènes, finissent par devenir psychiatres, ou psychanalystes, pour mettre leur expérience "au service" de l'institution biopolitique et disciplinante du "soin". Ils me font un peu penser à ces anciens hackers qui finissent par travailler dans la sécurité informatique pour des boîtes privées capitalistes, au lieu de devenir des révolutionnaires politiques conséquents, conformément à ce qui est induit éthiquement par leurs "compétences", en sabotant par exemple les zones stratégiques de la gestion productive de la destruction et de la guerre.